Zure, qui est-ce ?

Otaku : (おたく en hiragana, dérivé du kanji お宅) est un terme désignant une personne qui consacre une certaine partie de son temps à une activité d’intérieur comme les mangas, anime, les idoles japonaises, ou encore les jeux vidéo, liés à la culture japonaise. [Wikipedia]

Derrière l’écran se cache Zure, une étudiante en communication digitale à l’IIM en 4ème année. Si on devait me décrire : geekette sur les bords et otaku à 100% (cf. définition ci-dessus).


Côté jeux vidéo

Pour la petite histoire : ma première console rien qu’à moi (donc pas la Playstation ou la N64 de mes frères) était la Xbox – première du nom – à mon plus grand désespoir.

Mon premier jeu possédé était Dead or Alive Xtreme Beach Volleyball, un magnifique jeu de… volleyball sur fond de voyeurisme avec beaucoup de maillots de bain à collectionner. Merci papa pour le cadeau. Grâce à toi, ta fille s’est déchainée par la suite sur les jeux de baston Dead or Alive et a développé la collectionnite aigüe.

Hormis ce petit accroc de jeunesse, j’adore passer mon temps sur des J-RPG (Persona, Tales of, Final Fantasy, Bravely Default, etc.) ou sur des point & click (Ace AttorneyRunaway, Marine Malice, Walking Dead) mais je sais aussi m’amuser sur un Left 4 Dead 2, un Mario Kart ou un Super Smash Bros !

Cependant, il faut noter que je suis vraiment allergique aux jeux de plate-formes type Mario (parce que je suis nulle et que ça me frustre trop de rater tous mes sauts).

En général, ce qui va principalement déterminer mon niveau d’intérêt pour un jeu est la qualité de sa narration. Mais rassurez-vous, pour mes tests et critiques, je tiens tout de même compte du gameplay.

Côté manga

Habituée aux BDs que je lisais à la bibliothèque municipale, j’ai plongé dans la marmite lorsque mon grand frère m’a fait lire Love Hina. Les blockbusters Naruto, Bleach, One Piece ont suivi.
Malgré mes préjugés de l’époque sur les shojos (mangas pour jeunes filles), j’ai démarré avec Fruits Basket et continué avec quelques Clamp (Card Captor Sakura, Chobits).

Au fil du temps, mes goûts ont énormément variés et mes exigences se sont affinées. Mon horizon s’est élargi de manière exponentielle lorsque j’ai commencé à lire des scans en anglais. Ce qui donne des découvertes telles que Majin Tantei Nougami Neuro (Neuro, le mange-mystère) ou Himegoto que vous avez potentiellement croisé au cours de votre lecture de ce blog.

Dans l’ensemble, je m’oriente plus vers les seinen/josei (mangas destinés à une public plus âgé) qui sont plus portés sur la psychologie des personnages que sur leur capacité à faire du power-up et à se castagner. Ce qui ne m’empêche pas d’apprécier des séries telles que Soul Eater ou Ao no Exorcist (Blue Exorcist) qui sont très divertissantes.

Côté anime

En ce qui concerne les animes, j’aime regarder des séries « originales » qui ne sont pas de l’adaptation d’un manga connu au bataillon. Puella Magi Madoka Magica en est un parfait exemple. À moins que la valeur ajoutée procurée par l’adaptation soit assez conséquente pour que je m’intéresse à son cas… la 1ère saison de Fullmetal Alchemist allait dans ce sens. Elle a énormément influencé notre vision de l’histoire (repensez à tous ces passages émotions avec la mère des frères Elric).

De temps à autre, je peux être intriguée par des expériences du type Panty & Stocking with Garterbelt, ne serait-ce que pour son style de dessin à la « Supers Nanas » et son scénario sans queue ni tête.

Bref, mes choix de visionnage sont intimement liés au fléau qui pousse l’industrie des animes à réaliser des séries « promotionnelles » qui n’adaptent qu’une petite partie d’un manga très intéressant. Cette pratique que j’exècre est, hélas, devenue courante, tout comme le fait de limiter en 11 ou 12 épisodes des séries qui en méritent plus (oui Zankyou no Terror, c’est bien mais ça aurait pu être mieux).


Hors mangas et jeux vidéo, je regarde très peu de séries TV : Game of Thrones, Doctor Who et Sherlock sont les trois exceptions notables. Mais c’est sans compter le désormais classique How I Met Your Mother dont les running-gags avec Barney resteront gravés dans ma mémoire à jamais.

De même, je lisais énormément de romans lorsque j’étais plus jeune mais beaucoup moins ces temps-ci : de la fantasy (Harry Potter, le Seigneur des Anneaux, Eragon), des romans policiers (Sherlock Holmes et Hercule Poirot), des romans d’anticipation (1984, Le meilleur des mondes), sans compter les pièces de théâtre en cours de français que j’avais adorées (Colombe, On ne badine pas avec l’amour).

Maintenant, vous savez à peu près tout des influences qui me poussent à parler de tel ou de tel sujet ! En espérant que cela vous permettra de mieux apprécier les différents articles publiés ;)

Zure, une geekette otaku déterminée à faire partager ses passions.

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