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Another Story – The next BIG thing (partie 1)

Hello world! Non, je ne vais pas parler du jeu d’aventure de Pendulo Studio. Et oui, je n’ai pas été très active ces temps-ci sur le blog.. mais ce ne sont pas des vacances pour autant !

L’article d’aujourd’hui n’est pas une présentation de jeu, mais quelque chose de bien plus personnel car il se trouve que depuis fin avril, je travaille sur la réalisation d’un jeu !

Découpé en deux parties pour éviter de créer un supermega-pavé, je vais tout d’abord livrer mes impressions de créatrice en guise d’introduction, puis parler du jeu en lui-même dans un prochain article.

[ Partie 1 – L’envers du décor, ce qui se passe dans ma tête ]


Créer son propre jeu ? Beaucoup diront que c’est une idée un peu aberrante et folle, mais tellement awesome.
Hélas, contrairement aux attentes et de manière plus réaliste, j’ai jeté mon dévolu sur la création d’un visual novel. Ce genre de niche très japonais s’apparente plus à un roman interactif (ou non) un peu OVNI comme Umineko.
Loin de partir sur une histoire de meurtres à huis clos, j’ai préféré traiter un sujet plus simple pour une première incursion dans le genre : la romance.

D’autant plus que LA raison principale de ce projet découle de ma frustration en tant que joueuse d’Amnesia, un visual novel japonais axé romance. Oui, je me suis faite avoir par les magnifiques dessins.

– spoiler alert –

Depuis quand est-ce raisonnable d’être enfermée dans une cage par son copain et d’y revenir par amour après s’en être échappée ?! Pourtant, les créateurs du jeu ont décidé que c’était LE choix à faire si on voulait atteindre la meilleure fin. Malgré l’absurdité de la situation, j’ai cliqué machinalement pour faire mon choix car je voulais voir cette fichue fin.

– fin du spoil-

Puis de fil en aiguille, cette idée de créer un jeu a germé dans ma tête. Je savais à peu près comment faire, mais je n’avais jamais franchi le pas.

Le hasard faisant bien les choses :

  • À ce moment j’avais à ma disposition une tablette graphique assez onéreuse qui prenait un peu la poussière par manque de motivation.
  • Les débuts de scénario, j’en avais toujours en tête, mais jamais vraiment creusé ces histoires depuis la fin de mon époque « fanfictions » sur les forums.
  • Surtout, j’avais envie de reprendre le dessin (toujours en autodidacte).

Le tout m’a motivée à lancer mon projet de visual novel. Comme ça, je faisais d’une pierre trois coups ! J’ai désormais un objectif concret auquel me raccrocher.

Étant totalement néophyte en la matière, avec zéro budget et n’ayant que mon cerveau pour travailler sur le scénario, le chara-design, les interfaces in-game, ce n’était pas forcément évident d’avancer.

Malgré cela, même si j’avais souvent l’impression de patauger dans la semoule, j’ai appris à savourer la liberté de créer mon petit univers, mes scénarios et mes délires. C’était presque devenu une obsession.
Au travail, un rien me faisait gribouiller discrètement sur un coin de mon carnet.

(Quelques personnages griffonnés sur un papier ou un post-it que vous pourrez reconnaître en jeu.)

Tout cela n’aurait jamais vu le jour si je ne pouvais pas compter sur l’aide inconditionnelle de Sharuru pour le développement sous Ren’Py, un moteur de jeu spécialisé en création de visual novel.
Je recommande l’outil, surtout qu’il est très bien documenté et continue d’évoluer ! (Même si je suis encore un peu dégoûtée de voir la mise à jour majeure sortir le lendemain du Live de ma 1ère démo, elle apporte tellement de nouvelles fonctions mais casse en partie le code déjà écrit, bon plus qu’à corriger ça.. T_T)

Mais vous n’imaginez pas à quel point j’étais fière, excitée et déprimée en même temps lorsque ma première démo a été compilée et prête à l’usage. Tout ce travail cristallisé en une application.

Néanmoins, ce jeu me prendra sûrement quelques années avant de le conclure au vu du travail à effectuer… mais heureusement, étant trop plongée dedans, il est hors de question de m’arrêter là !


Voici un aperçu de ma vie au cours des derniers mois où j’ai fait un silence radio sur Geeky Zure, j’espère que vous me comprendrez. Merci encore pour avoir lu ce long pavé, et après avoir autant tourné autour du pot, j’espère que ce jeu modestement nommé Another Story vous divertira.

A bientôt pour la 2e partie de cet article qui présentera de manière plus concrète mon jeu !

Zure, une nouvelle recrue dans le club des « créateurs de VN ».


Mot de la fin pour tous les créateurs en herbe

« Même si vous hésitez, même si vous ne vous sentez pas à la hauteur de vos propres ambitions, foncez ! ;) »

C’est incroyablement embarrassant de dire ça alors que je suis la première à me critiquer habituellement, mais le jeu en vaut la chandelle, ne serait-ce que pour se dire qu’on l’a tenté.

The Walking Dead – le jeu, pas la série

Point & Click : genre de jeu particulier qui se focalise sur la narration et les résolutions d’énigmes, tire son nom de l’utilisation prédominante de la souris.

Aujourd’hui, je ne parle pas de la série TV, ni du comic original, ni du mauvais FPS décliné de la franchise, ni du pinball sur PS Vita, mais bien du point & click conçu par Telltale Games qui a remporté le prix de meilleur jeu de l’année 2012. (Oui, ça fait un bail.)

« On suit le parcours de Lee Everett, un condamné qui n’ira pas en prison comme prévu. Par la force des choses, il finit par prendre la charge de Clementine, une petite fille délaissée. S’occuper d’un enfant n’est pas une chose aisée, mais devoir survivre dans un univers apocalyptique où les zombies (walkers) ont pris le dessus, en est une autre. »

Telle une série télévisée, la première saison est découpée en 5 épisodes qui sortent à quelques semaines d’intervalles chacune. Le jeu complet promet environ 15h de jeu, soit 3h par épisode. De quoi rentabiliser assez vite son achat ;)

A l’instar de Mass Effect, entre quelques séquences d’actions ou de résolutions de « puzzles », on est souvent amenés à choisir la manière dont on va répondre lors des dialogues. Nos interlocuteurs mémorisent tous nos faits et gestes lors de ces moments en temps limité et cela impacte le récit que ce soit à court ou sur le long terme.

Si on en revient toujours au gameplay, c’est parce qu’il met en exergue une écriture fine et des personnages toujours nuancés. Rarement un clic n’aura eu autant de poids et d’émotion dans un jeu de ce type.

Alors que vous ne faites que cliquer et suivre du texte sur un écran, vous vous retrouvez vraiment dans la peau de Lee sans vous en rendre compte au 1er abord.
On se souviendra dans les grandes lignes de chaque personnage secondaire (Kenny, Lily, Larry, Carley, Molly, Glenn-y) car ils apportent tous leur brique à cet édifice qu’est la saison 1 de Walking Dead sauce Telltale. Fidèle à ses origines, l’hécatombe est assez prévisible et suscitera toujours des réactions.
Mais LE point qui m’aura le plus marqué est « notre » relation avec Clementine : d’étrangers, on se retrouve à vouloir donner le bon exemple à cette petite fille au travers de nos actions, à préserver sa candeur.

Qu’en retenir au final ?

Pour moi, Walking Dead est le synonyme d’une expérience vidéoludique qui m’aura surprise et fait pleurer comme une madeleine. Moi qui adore les histoires rondement bien menées et qui ne connaissait pas l’univers, ce jeu m’a beaucoup accrochée ! Tellement marquant que même 2 ans après l’avoir fini, j’en garde un excellent souvenir.

Je le recommande assez facilement sauf peut-être à ceux qui ne sont pas patients et qui veulent juste shooter des zombies (pour ça, y’a Left 4 Dead et cie).

Mais merci Telltale pour cette balade. Au passage, j’attends toujours ma saison 3 ! (Malgré une saison 2 moins forte en émotion..)

Disponible sur quasiment toutes les consoles existantes et il se trouve que j’ai la flemme de toutes les lister. Mais pour les joueurs PC : Steam est votre ami !

Zure, qui préfère faire du binge-gaming que du binge-watching.

 

Mass Effect – une trilogie d’exception signée Bioware

TPS – Third person shooter : un jeu de tir où la caméra est située derrière le personnage joué

Le premier Mass Effect sorti en 2007 marque le début d’une grande aventure en trois actes où il sera question de sauver la galaxie à de nombreuses reprises avec notre Commandant Shepard, plus BADASS que jamais avec son fidèle vaisseau : le Normandy.

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Le Normandy SR1 de Mass Effect

Jamais je ne me serais vue finir un action-RPG avec du tir à la 3ème personne. Cependant, j’ai craqué après des soldes Steam durant une période creuse en terme de jeux. Et, croyez-moi, j’ai sacrément bien fait. J’aurais pu passer à côté d’une perle en terme d’expérience.

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Vos compagnons de route. Oui ça en fait beaucoup… Mince, j’ai oublié Zaeed et Javik !

L’atout principal de Mass Effect est sa narration : les missions scénarisées s’enchaînent sans répit, délivrant des scènes épiques que Michael Bay ne renierait pas, et des choix cornéliens.
D’autant plus que Bioware nous offre la possibilité de choisir l’orientation des répliques de notre Shepard, un geste anodin qui aura une conséquence plus ou moins importante sur les jeux suivants et surtout… va nous permettre de poursuivre une relation amoureuse avec l’un de nos coéquipiers (Kaidan ! <3).

Quant à l’aspect jeu de tir : j’étais quelque peu pataude au départ, mais cela ne m’a pas vraiment pénalisée (bon, ok, je demandais à mon copain de faire les sales besognes si VRAIMENT nécessaire.) Mass Effect n’est pas particulièrement reconnu pour son aspect action, même si les créateurs ont bonifié les combats au fur et à mesure des opus.

Mon engouement pour Mass Effect se reflète par :
– Chaque jeu m’aura pris environ 50 à 60 heures, toutes les quêtes finies. Soit plus de 150 heures au total.
J’ai installé Origin (car Mass Effect 3 ne se trouve pas sur Steam).
– J’ai acheté tous les DLC solos ayant un intérêt scénaristique (mon porte-feuille a souffert).
– J’ai plus ou moins fait la paix avec les jeux d’action.
– Un grand sentiment de vide m’a emparée quand j’ai fini le DLC Citadelle. Adieu Commandant Shepard, adieu Kaidan.

Mes moments de frustration :
– Pas de compatibilité manette sur PC (alors que le jeu a été pensé pour une manette)
– Le micmac pas possible pour transférer l’apparence de ma Shepard de Mass Effect 2 vers Mass Effect 3 (WTF?)
– Des petits bugs lors de la mission « Lair of the Shadow Broker » qui faisaient crasher le jeu sans raison apparente > nécessite une vérification des fichiers dans les paramètres Steam
– Les mini-jeux à la con pour interagir avec des coffres/portes/rochers dans Mass Effect 1, le Mass Effect 2 était mieux loti mais je m’en serais bien passée.
– Un peu trop de chargements.

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Mass Effect 1 – Ça c’est les sales besognes dont s’occupait mon copain. Immersion garantie. On hack même des cailloux dans la nature.

Conclusion :
La saga Mass Effect mérite les honneurs qu’on lui accorde. Plus qu’un simple Action-RPG, c’est un magnifique soap-opéra spatial qui vous transporte dans les confins de l’univers, mêlant prophéties, guerres et l’histoire d’un héros/une héroïne. Vous êtes le Commandant Shepard et vous le valez bien. (Ou presque, si on oublie la fin hautement controversée.)

Zure, une fille qui rêve d’être aussi BADASS que son Commandant Shepard.

Danganronpa : Trigger Happy Havoc

Dating-sim : diminutif de dating-simulation,  c’est un genre peu connu en Europe qui est assimilé aux jeux de drague. Le joueur développe ses relations avec les personnages à travers différents choix, ce qui a une influence au cours du jeu, mais peut aussi en déterminer la fin.

« L’histoire de Danganronpa démarre lors de la rentrée de Makoto Naegi. Il vient tout juste d’être admis à la Hope’s Peak Academy, une école réputée pour regrouper la crème de la crème de l’élite japonaise, surnommés les « Ultimate Students ». Cependant tout ne se passe pas comme prévu…

A leur arrivée, Monokuma – un étrange nounours – confine les 15 étudiants au sein de l’école. L’ours moqueur prend le pouvoir et décrète que nul ne pourra quitter le bâtiment à moins de tuer un de ses camarades ! De plus, si le reste de la classe n’arrive pas à découvrir le coupable, tous seront punis par une mort atroce quand ce dernier partira libre.

Percer tous les mystères de l’école tout en survivant aux provocations de Monokuma, la tâche ne sera pas aisée pour Makoto et les 14 autres « Ultimate students ». »

A la croisée des chemins entre un Dix petits nègres (pour l’aspect mystère à huis clos), un Ace Attorney (pour les phases de tribunal) et un Persona (pour le côté dating-sim), ce visual novel est arrivé sur la PS Vita en 2014 dans nos contrées européennes.
Réédition des versions PSP – iOS/Android limitées au territoire japonais, je ne pouvais pas passer à côté de cet OVNI qui regroupe mes genres préférés en un seul jeu !

Cependant, s’il y a la possibilité d’avoir les voix japonaises avec les textes en anglais (VOSTA), Danganronpa fait partie de la grande famille des jeux très fournis en texte mais hélas, non-traduits en français.

Malgré cette contrainte de localisation, est-ce que ce mix de genres fonctionne vraiment bien ? La réponse est oui, comme le prouve mes 29h de jeu.

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La phase exploration de Danganronpa – Source : jeuxvideo.com

L’une des premières choses qui frappe en lançant Danganronpa : Trigger Happy Havoc est le style graphique. Les menus sont très colorés et les personnages manga en 2D sont « posés » dans un décor en semi-3D. C’est un parti pris qui dynamise la direction artistique du jeu et la rend quelque peu unique.
Le portage de la PSP vers la PS Vita apporte des images en HD, bien que les décors restent globalement très vides, ce qui est un peu dommage.

Hormis l’aspect esthétique, il faut noter que le jeu est décomposé en 3 phases distinctes : la phase « dating-sim » où on apprend à connaître ses compagnons de fortune, la phase « exploration/enquête » fait souvent suite à un meurtre, puis la phase « tribunal » où il va falloir élucider l’affaire pour sauver sa peau.
Si chacune apporte son lot de dialogues et de révélations en tout genre, celle qui constitue réellement la particularité de la franchise Danganronpa est incontestablement la phase au tribunal.

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La phase tribunal, un moment toujours très tendu – Source : kotaku.com

Les phases de procès forment véritablement le coeur du jeu car ce sont des moments assez soutenus où les déclarations de chaque étudiant fusent de toute part, chacun clamant son innocence. On sent la tension monter au sein de cette petite communauté car les enjeux sont élevés.

En tant que Makoto Naegi, il nous faut utiliser les bons arguments sous forme de « truth bullet » et tirer sur les bonnes phrases, tout cela en temps limité. Au fur et à mesure que le jeu avance, des nouveaux obstacles s’ajoutent et encombrent l’écran de manière à ajouter du piquant. Etonnamment, toutes les touches de la PS Vita sont utilisées, chose que je n’aurais pas imaginée pour un visual novel.

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Les procès mouvementés de Danganronpa – Source : jeuxvideo.com

Loin de se cantonner à ces phases de réflexion en temps limité, le procès est agrémenté de mini-jeux tels qu’un pendu pour élargir la liste des arguments, ou un jeu de rythme qui permet de se confronter directement à un des personnages.
Un peu difficile d’approche au départ car déroutants, on s’y fait bien à la longue. Ces passages permettant de casser la routine lors d’un procès de manière originale.

Une fois la reconstitution du crime réalisée, Monokuma prononce le verdict et… PUNISHMENT TIME! Une cutscene se lance, le ou la coupable est alors exécuté(e) publiquement d’une manière assez burlesque et glauque à la fois.

Chaque procès est noté selon nos performances (temps, nombre de ratés) et nous offre des Monocoins, monnaie du jeu qui permet d’obtenir des cadeaux à offrir aux autres personnages lors des phases dating-sim.

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Monokuma, un être sadique et mignon à la fois

En ce qui concerne les personnages, ils sont très stéréotypés. On décèle en un clin d’oeil le profil de chacun : entre l’otaku hardcore, le délinquant, la gothic lolita, la sportive un peu simplette et la timide écrivaine. Le casting est très hétéroclite, ce qui permet de contenter tous les profils de joueurs.

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Le casting de Danganronpa – Trigger Happy Havoc au grand complet

Bien que servi par un magnifique charadesign (les demoiselles sont encore une fois mieux loties), on ne dispose pas d’assez de temps pour approfondir nos relations avec tout le monde en une fois. D’autant plus que la mort frappe très régulièrement notre groupe d’étudiants. Il faudra ainsi refaire le jeu plusieurs fois pour pouvoir récupérer toutes les compétences spécifiques offertes par nos nouveaux amis.

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Je ne plaisantais pas quand je parlais de jeu de gestion lors du « School mode » – Source : jeuxvideo.com

Heureusement, cette mouture PS Vita possède un « School mode » débloqué après avoir fini le jeu principal. Sans le contexte de meurtres imposés, le joueur peut librement développer ses relations et glaner les skills manquants, tout en gérant les requêtes de Monokuma sous la forme d’un jeu de gestion. Un bonus agréable qui ajoute quelques heures supplémentaires à un contenu déjà conséquent.

Conclusion :
Un très bon jeu où l’ambiance mystérieuse est prenante. Fait notable : l’histoire est bien gérée jusqu’au bout. L’enrobage n’est pas en reste : le charadesign est très joli et les interfaces sont très travaillées. La durée de vie est assez conséquente pour un jeu du genre, sans compter l’inclusion d’un mode complet supplémentaire.
Une des choses que j’ai le plus apprécié : les phases de procès. Tellement sur-vitaminées qu’elles dépassent en intensité les procès d’un Ace Attorney (et il faut le faire).

A côté, si on excepte la relative facilité du jeu (même lorsqu’il est facile de se mélanger les pinceaux lors des argumentaires), les phases d’exploration et de dating-sim pêchent légèrement. Elles paraissent trop lentes comparativement aux phases tribunal.
Un autre point négatif d’importance : il est difficile de s’attacher à tous les personnages, mais c’est hélas intrinsèquement lié à l’histoire.

Et dernier point, le vocabulaire employé n’est pas forcément le plus compliqué, mais il vous faudra tout de même un bon niveau d’anglais pour pouvoir apprécier pleinement l’expérience Danganronpa : Trigger Happy Havoc.

Pour ceux qui ont accroché à ce jeu, une suite est déjà disponible sur PS Vita : Danganronpa 2 – Goodbye Despair.

Zure, une disciple de Sherlock Holmes aux penchants moe-macabres.